Semaine du 29-05 au 04-06

Et une petite semaine de routine, rien de particulier à raconter… si ce n’est le samedi. C’est le premier samedi du mois, donc c’est en principe une matinée qu’on passe au boulot. Sauf qu’ils ont changé la politique sociale et qu’à présent c’est devenu un jour « social ». En effet, ces samedis se transforment à présent en petit voyage/déjeuner, moyennant une contribution bien sûr. Il s’agit de la première fois et c’est Shireen qui est chargée de tout organiser.

La veille, après le boulot, je l’ai aidée un peu dans la préparation et j’ai passé la nuit chez elle. Ils se sont bien foutus de moi quand j’ai épluché et coupé une douzaine d’oignons ; ils n’ont pas l’air de savoir que ça fait pleurer ;). Homar, le mari de Shireen, a pris la relève et a coupé la douzaine restante en me vannant.

Le samedi, lever à 6h00 du mat pour être au bateau à 8h00, on passe chercher au passage Julien, le reste de la troupe ira avec CW, un gars du boulot.

Comme j’ai dû faire mon sac en rafale, j’ai oublié de prendre casquette, crème solaire et même maillot de bain… mais j’ai quand même pensé à prendre une serviette…

On se rend en bateau sur une petite île au sud de Penang et là… déception : ça devait être une jolie plage auparavant, mais tout est jonché de détritus. On installe le barbec un peu plus loin et Julien et moi installons un terrain de beach-volley de fortune. Par la suite, quand tout le monde est arrivé, ils nous ont aidé à casser les branches qui gênaient. On s’est amusés comme des petits fous. Je crois qu’on s’est plus amusé à faire ce terrain de volley qu’à y jouer.

Après, on s’est fait un foot sur la plage, c’était bien marrant. Tout le monde a plus ou moins volé au jus. Julien s’est fait un plaisir de m’envoyer à la mer ; c’est vrai qu’il est costaud, j’ai rien pu faire :D

Ensuite ça a été séance libératrice d’opérations commando pour mettre à l’eau tous ceux qui étaient secs. Je pense que la journée a été assez libératrice pour les gens du labo, bref ça a été une réussite.

Bien que j’aie passé le plus clair de mon temps à l’ombre, je me suis bien fait cramer quand même…